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Au fil de cette 45ème édition du Festival international du film américain de Deauville – qui a d’ailleurs occasionné un changement d’identité visuelle incontestablement profitable – il semble qu’il fut avant tout question de choix de vie, de changements de…
Qu’a-t-on retenu de Deauville cette année ? Manifestement, que le cinéma états-unien discoure particulièrement sur l’islamophobie. Possible vue de l’esprit influencée par l’actualité hexagonale, probable tropisme trumpiste, mais si l’on discerne ici la peur de l’Autre, c’est aussi pour dégager…
Prix du jury à Deauville et outsider des Oscars, Tangerine raconte l’odyssée nocturne et speed de deux prostitués transgenres, filmée et interprétée avec fougue, idéalement relayée par sa bande-son trap. Réalisateur indépendant culte aux Etats-Unis, méconnu en France, Sean Baker…
Ce biopic de Stanley Milgram trouve sa singularité dans un traitement formel atypique, soulignant que l’illusion est à l’origine des expériences du psychologue mais aussi du cinéma (ce dont on se doutait un peu).
Film-miroir de Mustang, le documentaire The Wolfpack évoque la réclusion de six frères dans un appartement de Manhattan. Une histoire fascinante, supérieure au documentaire qui lui est consacré.
Avec sa trentaine de films de l’année en provenance des USA, le festival de Deauville dit toujours quelque chose sur l’état du pays et de son cinéma. En 2015, le protagoniste américain ne paraît pas concerné par ce qui se…
Les 14 films en compétition à Deauville US posent une question : qui aime encore les Etats-Unis ? Est-ce le cas de ces auteurs qui situent leurs intrigues hors du pays ? Est-ce celui de leurs personnages, désorientés au point…
Le festival Deauville Asie n’a pas toujours daigné explorer toutes les contrées du continent. C’est plus que jamais le cas cette année avec 7 nations représentées pour les 8 films en Compétition (et aucune trace du Japon !). Les grands…
Le retour de David Gordon Green au Texas et au cinéma indépendant, après sa période hollywoodienne comique (plus ou moins drôle) aura bien occupé les festivals en 2013 : après Prince of Texas montré à Berlin puis Paris, Joe a…
Quand il s’agit de mal traiter un ou plusieurs personnages féminins, la créativité des cinéastes masculins ne connait pas de limites. Tour d’horizon non exhaustif de ce sport tout sauf fair-play, en cinq étapes Deauvillaises et Cannoises, de Blue Jasmine…
La France a été à l’honneur dans la tournée d’adieux du (soi-disant) néo-retraité Steven Soderbergh, avec deux dates : Cannes puis Deauville. Deux occasions de profiter d’un film en forme de parade exubérante, dans les pas de l’expert en la matière…
Sélectionné en compétition à Deauville, mais reparti bredouille, Les amants du Texas sort dans la foulée en salles pour tenter de faire tomber le public sous le charme de son lyrisme fiévreux et de sa tragédie douce-amère.
Trésor caché des festivals de 2013, présenté à Berlin, Deauville ou Strasbourg, Upstream Color fait tout fusionner : l’homme et l’animal, la simplicité et la confusion, le calme et la tempête.
Présenté en avant-première à Deauville début septembre, No Pain No Gain tranche radicalement avec les drames indépendants fétiches du festival normand. La subtilité n’est pas recherchée mais rejetée par Michael Bay, au point de faire de la bêtise sa matière…
Ignoré lors du singulier palmarès de la Mostra 2013, mais célébré à Deauville au même moment, Night Moves embellit encore l’œuvre précieuse de Kelly Reichardt. Après Wendy & Lucy (2008) et La dernière piste (2010), la nature obsède toujours autant…