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Au fil de cette 45ème édition du Festival international du film américain de Deauville – qui a d’ailleurs occasionné un changement d’identité visuelle incontestablement profitable – il semble qu’il fut avant tout question de choix de vie, de changements de…
Qu’a-t-on retenu de Deauville cette année ? Manifestement, que le cinéma états-unien discoure particulièrement sur l’islamophobie. Possible vue de l’esprit influencée par l’actualité hexagonale, probable tropisme trumpiste, mais si l’on discerne ici la peur de l’Autre, c’est aussi pour dégager…
Un film à sketchs dans lequel un teckel traverse les instants de vie de différents personnages ayant pour point commun la solitude. On est chez Todd Solondz donc ça grince, ça gêne, ça rit jaune. Et c’est beau.
Avec sa trentaine de films de l’année en provenance des USA, le festival de Deauville dit toujours quelque chose sur l’état du pays et de son cinéma. En 2015, le protagoniste américain ne paraît pas concerné par ce qui se…
Le 41ème Festival du Cinéma Américain de Deauville rend hommage à Elizabeth Olsen, Lawrence Bender, Michael Bay, Terrence Malick, Patricia Clarkson, Orlando Bloom, Keanu Reeves, Ian McKellen et Orson Welles. Un gros programme qui ne l’empêche évidemment pas de compter…
Les 14 films en compétition à Deauville US posent une question : qui aime encore les Etats-Unis ? Est-ce le cas de ces auteurs qui situent leurs intrigues hors du pays ? Est-ce celui de leurs personnages, désorientés au point…
Il y a dix ans, le premier épisode (Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy) lançait vers les sommets le duo Will Ferrell – Adam McKay aux USA, et était exploité dans les salles françaises pendant une unique semaine.…
L’histoire de White bird in a blizzard, le roman de Laura Kasischke à l’origine du film, se déroule entre 1986 et 1989. Dans son adaptation, Gregg Araki décale de manière infime cette période : 1988-1991. 1991, c’est l’année de Twin Peaks.…
Le retour de David Gordon Green au Texas et au cinéma indépendant, après sa période hollywoodienne comique (plus ou moins drôle) aura bien occupé les festivals en 2013 : après Prince of Texas montré à Berlin puis Paris, Joe a…
Quand il s’agit de mal traiter un ou plusieurs personnages féminins, la créativité des cinéastes masculins ne connait pas de limites. Tour d’horizon non exhaustif de ce sport tout sauf fair-play, en cinq étapes Deauvillaises et Cannoises, de Blue Jasmine…
La France a été à l’honneur dans la tournée d’adieux du (soi-disant) néo-retraité Steven Soderbergh, avec deux dates : Cannes puis Deauville. Deux occasions de profiter d’un film en forme de parade exubérante, dans les pas de l’expert en la matière…
Sélectionné en compétition à Deauville, mais reparti bredouille, Les amants du Texas sort dans la foulée en salles pour tenter de faire tomber le public sous le charme de son lyrisme fiévreux et de sa tragédie douce-amère.
Trésor caché des festivals de 2013, présenté à Berlin, Deauville ou Strasbourg, Upstream Color fait tout fusionner : l’homme et l’animal, la simplicité et la confusion, le calme et la tempête.
Présenté en avant-première à Deauville début septembre, No Pain No Gain tranche radicalement avec les drames indépendants fétiches du festival normand. La subtilité n’est pas recherchée mais rejetée par Michael Bay, au point de faire de la bêtise sa matière…
Ignoré lors du singulier palmarès de la Mostra 2013, mais célébré à Deauville au même moment, Night Moves embellit encore l’œuvre précieuse de Kelly Reichardt. Après Wendy & Lucy (2008) et La dernière piste (2010), la nature obsède toujours autant…