Cannes Classics : la sélection

Un grand requin blanc, une épopée dans le désert, une autre en Amérique aux accents proustiens, Rossellini qui fait déterrer le moulage de deux corps ensevelis sous la lave du Vésuve, du Audiard dans le texte, un Hitchcock rare et un soupçon de Jerry Lewis : tels sont les beaux ingrédients de la sélection « patrimoniale » de Cannes 2012.

ONCE UPON A TIME IN AMERICA (Il était une fois en Amérique) (1984, 245′) de Sergio Leone

TESS (1979, 171′) de Roman Polanski

JAWS (Les Dents de la mer) (1975, 124’) de Steven Spielberg

THE RING (Le Masque du cuir) (1927, 109′) d’Alfred Hitchcock

LAWRENCE OF ARABIA (Lawrence d’Arabie) (1962, 222′) de David Lean

NARAYAMA BUSHI KO (La ballade de Narayama) (1958, 98′) de Keisuke Kinoshita

A GREAT DAY IN HARLEM (1994, 60′) de Jean Bach et 2 « jazz shorties » : AN ALL COLORED VAUDEVILLE SHOW (4’) et JAMMIN THE BLUES (11’)

VIAGGIO IN ITALIA/JOURNEY TO ITALY (Voyage en Italie) (1954, 97’) de Roberto Rossellini

AFTER THE CURFEW (1954, 101’) d’Usmar Ismail

KALPANA (1948, 155’) d’Uday Shankar

RUNAWAY TRAIN (1985, 111’) d’Andrei Konchalovsky

CLEO DE 5 A 7 (1961, 90’) d’Agnès Varda

LES BARBOUZES (1964, 118′) de Georges Lautner

FINAL CUT – HOLGYEIM ES URAIM de György Palfi

 

Les documentaires sur le cinéma :

WOODY ALLEN : A DOCUMENTARY (113′) de Robert Weide

METHOD TO THE MADNESS OF JERRY LEWIS (115′) de Gregg Barson

ME AND ME DAD (66′) de Katrine Boorman

CLAUDE M LE CINEMA (52′) d’Emmanuel Barnault

Christophe Beney
Christophe Beney

Journapigiste et doctenseignant en ciné, passé par "Les Cinéma du Cahiers", "Palmarus", "Versès" et d'autres. Aurait aimé écrire : "Clear Eyes, Full Hearts, Can't Lose".

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