Newsletter Subscribe
Enter your email address below and subscribe to our newsletter
Grâce à The Square, le cinéaste suédois reçoit la récompense suprême du Festival de Cannes, qui n’en est pas moins une suite logique après qu’il a été primé à la Quinzaine des réalisateurs pour Play en 2011 et reçu le…
Le 70e Festival de Cannes s’est achevé le dimanche 28 mai par la traditionnelle cérémonie du palmarès. On attendait Yorgos Lanthimos, Diane Kruger, Joaquin Phoenix ou encore 120 battements par seconde. Découvrez l’intégralité du palmarès de la Compétition à la…
En racontant l’origin story d’un groupe de rap fictif issu de l’ennui prolétaire dans le New Jersey, Geremy Jasper offre une fable optimiste débordante d’énergie.
Chaque production d’Emmanuel Chaumet ressemble à un château de cartes, sa façon de restituer notre bordel quotidien de façon crédible tenant toujours du travail d’orfèvre. Pour la première fois cependant, la recette commence à se faire sentir.
A la fois charnel et mental, quelque part entre Taken, Taxi Driver et Psychose, You were never really here tire parti des talents conjugués de l’acteur Joaquin Phoenix et du compositeur Jonny Greenwood, et retrouvés par Lynne Ramsey, à son…
Le jury présidé par Uma Thurman n’aura pas récompensé deux des chouchous de la Croisette, Tesnota du russe Kantemir Balagov et L’atelier de Laurent Cantet, mais des auteurs de propositions radicales : Michel Franco, Mathieu Amalric et Mohammad Rasoulof.
Pour sa 49ème édition, la Quinzaine des Réalisateurs a récompensé deux cinéastes français majeurs, un italien découvert à la Semaine de la Critique et une réalisatrice chinoise travaillant aux Etats-Unis, révélée dans cette même section en 2015 grâce à Les…
Le jury de cette 56ème édition de la Semaine de la Critique, présidé par le cinéaste brésilien Kleber Mendonça Filho (Les bruits de Recife, Aquarius), a salué le film Makala d’Emmanuel Gras (précédemment auteur de 300 hommes et par ailleurs…
Décharge d’adrénaline et de tendresse, braillard mais mélodieux, nerveux mais maîtrisé, Good Time de Ben et Josh Safdie raconte l’histoire de deux frères : alors que l’on suit le périple nocturne de l’ainé, on s’éprend du cadet.
Né de l’expérience d’autogestion d’une entreprise lisboète à la fin du XXe siècle, cette fiction ultra-réaliste enchaîne les ruptures de ton en quête d’une légèreté qui ne lui va pas, et n’intéresse vraiment qu’au moment de ses envolées intellectuelles.
La Palme Cat fête ses 5 ans ! S’il n’a pas été aisé tous les ans de trouver parmi les films du festival celui qui donnait sa juste place aux félins, le lauréat de cette année s’est facilement imposé, et c’est…
Kantemir Balagov n’a que 26 ans et il présente cette année à Cannes son premier long métrage dans la section Un Certain Regard. Tesnota – Une vie à l’étroit, raconte l’histoire d’Ilana, une jeune femme au caractère bien trempé qui…
Entre le nouveau cauchemar américain et la partie de Call of Duty en duo, Bushwick raconte l’invasion d’un quartier de New York par une armée ultraviolente. Mais du pessimisme post-trumpien qui s’annonce désormais contractuel ne jaillit rien de vraiment novateur.
Des mètres de ruban blanc comme métaphore de l’enchaînement mental et physique d’une petite zambienne de 9 ans qu’on prend pour une sorcière, le tout au service d’une satire d’une tristesse déchirante : on tient avec I am not a…
Dans ce biopic d’un autre âge, d’une platitude désarmante, Jacques Doillon fait s’interroger le sculpteur Auguste Rodin sur sa technicité et notamment sur le pouvoir de la lumière… mais n’applique absolument pas les préceptes à son propre travail.